Un extrait de mon 2ème livre 😉 Scoop !
Dans un monde imparfait, la perfection n’est que vision de l’esprit
Il existe autant de perfections que d’individus, lorsqu’on assemble les pièces du puzzle, il devient évident que toutes nos perfections mises en scène ne peuvent créer qu’une distorsion de nos visions, somme toute, étriquées.
Les anciens savaient-ils ?
Nous ne voyons qu’à travers les filtres de nos croyances, et quiconque me dira qu’il a dépassé ce stade verra immédiatement un sourire pointer aux commissures de mes lèvres. Oui, derrières les belles paroles, la vérité affleure à la lisière des paupières de celui qui parle. Les yeux sont le reflet de l’âme et qui sait observer sait aussi entendre…
Dans cette quête du Graal, il est à mon sens inutile d’interroger l’autre pour obtenir des informations sur la question essentielle de « qui suis-je ? ». Je suis foncièrement convaincue que même le meilleur des médiums ne peut qu’interpréter les informations qu’il reçoit pour les délivrer à travers les filtres de sa connaissance. Se tourner vers l’intérieur est la seule opportunité d’obtenir des réponses fiables. La priorité réside en l’élaboration d’un plan stratégique pour contourner les pièges de l’ego et ôter les voiles qui obscurcissent notre compréhension.
Une phrase se met alors à résonner en moi, au plus profond de mon être : « mais qui tire les ficelles de ce grand jeu d’initiés ? ».
De nombreux indices et je l’avoue, cette petite voix intérieure qui me guide, m’ont conduite à d’innombrables lectures qui me permettent aujourd’hui d’avoir mon idée sur la question. Mais il semblerait que cette petite voix intérieure insiste pour que je vous la soumette afin de vous la poser à votre tour. Interrogez-votre intuition, que vous-dit-elle ? « Qui tire les ficelles de ce grand jeu d’initiés ? ». La réponse vous appartient et je vous invite dans une réflexion et un voyage dans un passé bien lointain avant même que l’écriture cunéiforme prenne vie.
Bien des auteurs ont publié sur le sujet de nos origines, et je ne m’y essaierais pas, la redondance est inutile lorsque des érudits se sont admirablement penchés sur la question[1]. Mon souhait aujourd’hui est plutôt de vous faire réfléchir sur l’unique voie pour sortir des conditionnements qui vous contraignent à penser que le monde dans lequel vous vivez vous semble perfectible et sur le rôle que vous pensez pouvoir jouer dans ce grand échiquier macrocosmique.
[1] Cf : Zecharia Sitchin, qui réinterprète les grands mythes sumériens ou encore l’auteur français Anton Parks, traducteur de tablettes d’argile assyriennes qui lui permettent de mettre en lumière d’incroyables analogies entre les mythes de Mésopotamie, ceux de l’ancienne Égypte et par extension apportent une autre lecture des récits bibliques.
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