J’observe à l'envers le chemin de tes mains
recréer la lumière, l'iris qui me révélera
sentir sur ma joue la fine poussière
des rêves qui chargent ton dessein
Le corps alanguis sur ma couche,
je pensais si fort que la lumière traversa les dunes
j'ai tant marché dans les pénombres
des dimensions qui semblaient contraires à ta route
Je cherchais l'or dans les regards,
le fil qui saurait me mener à la source
Je ne perçu qu'un sillon vide, de trop d'âmes inconnues à ma lune
J'observe à l'envers le layon de tes mains
je vis les vents contraires, le tourbillon qui me révéla
sentir sur ma joue la fine poussière
des rêves qui chargent ton dessein
Je n'ai pas vu dans l'ombre du soir,
l'horodateur qui clappait l'attendue fin de course
Je ne saisi que l'effluve, d'un corps vibrant au diapason du miens
Mon corps alanguis sur le tiens
Je pense si fort que ton sourire réponds à mes songes
Ton monde est aussi doux que toi
Cette planète qui nous a vus naître autrefois
Observer à l'envers le chemin de tes mains
recréer la lumière, l'iris qui me révélera
sentir sur ma joue la fine poussière
des rêves qui chargent ton dessein
Carole Framezelle - Tous droits réservés
De l'autre côté
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