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Photo du rédacteurcarole FRAMEZELLE

À l'envers (une chanson)

J’observe à l'envers le chemin de tes mains

recréer la lumière, l'iris qui me révélera

sentir sur ma joue la fine poussière

des rêves qui chargent ton dessein


Le corps alanguis sur ma couche,

je pensais si fort que la lumière traversa les dunes

j'ai tant marché dans les pénombres

des dimensions qui semblaient contraires à ta route


Je cherchais l'or dans les regards,

le fil qui saurait me mener à la source

Je ne perçu qu'un sillon vide, de trop d'âmes inconnues à ma lune


J'observe à l'envers le layon de tes mains

je vis les vents contraires, le tourbillon qui me révéla

sentir sur ma joue la fine poussière

des rêves qui chargent ton dessein


Je n'ai pas vu dans l'ombre du soir,

l'horodateur qui clappait l'attendue fin de course

Je ne saisi que l'effluve, d'un corps vibrant au diapason du miens


Mon corps alanguis sur le tiens

Je pense si fort que ton sourire réponds à mes songes

Ton monde est aussi doux que toi

Cette planète qui nous a vus naître autrefois


Observer à l'envers le chemin de tes mains

recréer la lumière, l'iris qui me révélera

sentir sur ma joue la fine poussière

des rêves qui chargent ton dessein


Carole Framezelle - Tous droits réservés










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